Livraison hebdo de 💾Checkpoint, la newsletter qui fait le tri dans l'actualité du jeu vidéo

Bienvenue à celles et ceux qui viennent de s'abonner aux newsletters ! Vacances oblige, cette semaine est un peu particulière : 💾Checkpoint arrive un jour plus tôt (mercredi 31) et il n'y aura essepssionnellement pas de 🐸Téma Les Jeux vendredi, mais on reviendra en force en 2026 !

La Nex Playground, une console qui fait le poing

Récap' de la semaine

  • La console portable Nex Playground a cartonné aux États-Unis en cette fin d'année. Son petit prix (250 $), son usage d'une technologie façon Kinect et son catalogue de jeux en multi local familiaux ont su séduire. D'après Le Figaro, elle arrivera en France en 2026.
  • GOG.com et CD Projekt se séparent. La boutique de jeux sans DRM appartenait au studio des The Witcher depuis son lancement en 2008. GOG.com ne bénéficiera plus de la stabilité financière de CD Projekt, mais y gagne son indépendance vis à vis d'un éditeur de jeux.
  • Star Citizen devrait atteindre le milliard de dollars récolté auprès de ses joueurs d'ici l'été 2026, selon les prévisions de PC Gamer. Le lancement de sa campagne solo (Squadron 42) est aussi prévu l'an prochain, même si les indicateurs ne sont pas tous au vert. Quant à Star Citizen (le MMO spatial), il devrait arriver en 2027 ou 2028.

Et aussi :

  • Minecraft est au coeur d'une polémique (un peu rigolote quand même) cette semaine : une pub intégrée au jeu pour ses serveurs multi payants explique que "1 [joueur] est le nombre le plus solitaire" et, grossissant volontairement le trait, qualifie les joueurs solo de "marchands errants pathétiques". Outrage dans la communauté, qui rappelle que certain·es jouent à Minecraft en solo pour combattre leur dépression.
  • 61 employé·es d'Ubisoft Halifax, studio de jeux mobiles d'Ubi, se sont syndiqué·es le 18 décembre. C'est la première syndicalisation chez Ubisoft en Amérique du Nord.
  • GTA : Tokyo a failli exister, d'après l'ancien directeur technique des GTA Obbe Vermeij, interviewé par GamesHub. Dans une moindre mesure, le studio étudiait aussi la possibilité d'un GTA à Rio de Janeiro, Moscou et Istanbul. Raison du revirement d'après Vermeij : les jeux coûtent trop chers pour prendre le risque commercial qu'ils se tiennent ailleurs qu'aux États-Unis, dans des villes "dont tout le monde a une image mentale".

Sorties marquantes